Arrêter de fumer définitivement
L’hypnose est une technique efficace dans la prise en charge de l’arrêt du tabac. Le client, longtemps immobilisé par cette dépendance, prend enfin sa décision. Il perçoit la cigarette comme inutile, étrangère, ou comme un bourreau dont il est la victime. La motivation du tabagique doit être personnelle. Si le sujet est poussé à l’arrêt du tabac par son entourage familial ou professionnel, alors l’échec est probable.
Technique d’hypnose pour arrêter de fumer
L’arrêt du tabac par hypnose repose sur le mécanisme de la suggestion et le concept de l’empreinte. Il existe en chaque fumeur une part qui désire et a toujours désiré se délivrer un jour du tabac. Le thérapeute amplifie cette part, si infime soit-elle. Il donne l’avantage à des pensées et à un discours différents qui redonnent à la personne une sensation de liberté.
Diverses suggestions sont délivrées pendant la séance d’hypnose pour arrêter de fumer. Le client se saisit de celles qui sont, pour lui, les plus mobilisatrices. Par exemple, l’association tabac-nausées, le plaisir de respirer, le désir de se débarrasser d’un produit toxique, de vaincre une dépendance ou d’être à nouveau présent à son corps…
Le client se sent en sécurité. Il échange avec le thérapeute, expose son point de vue, ses peurs. Tous ces aspects doivent être abordés au cours de la séance afin de répondre au mieux à la demande.
La technique pour arrêter de fumer par hypnose fonctionne sur les sujets faiblement ou très fortement dépendants à la nicotine. Elle calme les symptômes de manque sévère aux composants du tabac et aux gestes et comportements addictifs.
L’arrêt brusque et immédiat s’est révélé toujours préférable à l’arrêt progressif. Le client choisit l’hypnose justement parce qu’il souhaite être débarrassé au plus vite du tabac.
Résultats de l’hypnose pour arrêter de fumer
Taux de réussite dans l’arrêt du tabac par hypnose :
- 72 % un mois après la séance.
- Puis 63 % à deux mois.
20 minutes après la dernière cigarette, la fréquence cardiaque redevient normale.
24 heures après, les risques d’infarctus du myocarde commencent à diminuer. Le monoxyde de carbone est éliminé et n’est plus détectable dans le corps.
2 jours après, on ne retrouve plus de nicotine dans le sang.
2 semaines après, le goût des aliments revient et la peau reprend une couleur plus claire.
1 an après, le risque d’infarctus est réduit de 50 %.Pour des renseignements personnalisés, contactez-moi au 06.85 75.06.64 ou via le formulaire en ligne.
Composition d’une cigarette
Au total, plus de 4 000 substances chimiques inhalées par la fumée de cigarettes, dont plus de 60 classées cancérigènes par le Comité international de recherche sur le cancer.
En voici quelques-unes à vous faire pâlir d’angoisse : de l’acétone qui est un dissolvant, de l’acide cyanhydrique qui était employé autrefois dans les chambres à gaz, du monoxyde de carbone qui sort des pots d’échappement de nos voitures, du DDT qui est un insecticide tout comme la nicotine, de l’arsenic, un poison très puissant…